Création de contenu et référencement naturel : quelles orientations pour 2026 ?

Création de contenu et référencement naturel : quelles orientations pour 2026 ?

Création de contenu et référencement naturel

Quelles orientations pour 2026 ?

Qu’on le veuille ou non, l’IA est LE sujet incontournable du moment. Elle a déferlé dans tous les secteurs en 2025 et ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Voyons comment l’appréhender sous le prisme de la communication digitale.

Le constat sur 2025

Le trafic web s’effondre

C’est la conséquence de l’augmentation de l’usage des agents IA tels que Chat GPT au détriment des moteurs de recherche comme Google. Et même si votre site Internet est souvent cité par l’IA, cela ne génère que très peu de trafic car je taux de clics y est très faible (moins de 1% contre 18 à 30% pour les 3 premiers résultats sur google).
Logique si l’on considère que la promesse des agents IA est de répondre directement à votre demande et non pas à vous renvoyer vers le web.
Le trafic en provenance de Google baisse lui aussi depuis l’intégration de résultats IA en première position.

Une SERP Google qui parle d’elle-même…

Si l’on analyse la page de résultats de recherche Google ci-contre (Serch Engine Results Page), on se rend compte :

  • Que l’IA nous apporte une réponse immédiate, qui ne nécessite pas de clic,
  • Que les résultats naturels se situent sous la ligne de flottaison (qui matérialise le bas de l’écran dans une résolution standard). Quand bien même votre site se trouverait en première position, il faut scroller pour y arriver. Et même beaucoup scroller puisque les résultats sponsorisés (et même ici des vidéos) s’intercalent.

On comprend mieux dès lors pourquoi le trafic organique vers les sites baisse !

Evolution des SERP Google avec intégration de l'aperçu IA

La qualité de contenu ne semble pas [trop] compromise

On lisait encore récemment des prédictions inquiétantes quant à un déferlement de contenu généré par IA. On parlait notamment du ‘AI Slop‘ : vague de contenu de très faible qualité. Or, si l’on en croit les études, la tendance est plus nuancée.

Plusieurs pistes pour expliquer que la qualité des contenus web ne soit pas encore trop altérée :

  • La plupart des contenus sont hybrides c’est à dire co-écrits entre IA et humain* (ce qui rend aussi la part d’IA plus difficile à détecter),
  • Les moteurs privilégient l’indexation de contenus de qualité,
  • Les créateurs ont bien compris que le contenu authentique et à valeur ajoutée reste plébiscité par les internautes.

Profonde mutation pour le e-commerce

La recherche de produits en ligne a elle aussi connu un tournant majeur en 2025. Les moteurs de recherche se partagent désormais le gâteau avec les agents IA** – on parle d’ailleurs de e-commerce agentique – mais aussi les plateformes sociales comme TikTok.

Les réseaux sociaux jouent en effet un rôle clé dans la découverte de produits, et tout particulièrement auprès des plus jeunes. Selon une étude d’Adobe***, 64% des internautes de la génération Z et 49% de la génération Y indiquent qu’ils ont déjà utilisé TikTok en tant que moteur de recherche. A titre d’exemple, on dénombre plus de 50 milliards de vues issues de la recherche #tiktokmademebuyit.

Côté IA, Sam Altman, patron d’Open AI (éditeur de Chat GPT), dit réfléchir à un modèle publicitaire. Il devrait permettre de renflouer les caisses de l’entreprise dont les pertes sont colossales. Il a tout récemment indiqué qu’il réfléchissait, non pas à un système de résultats sponsorisés à l’image de Google mais plutôt à une commission sur les ventes de produits et services réalisées grâce à l’IA. A suivre…

Comment [re] agir en 2026 ?

Des contenus de toujours plus grande qualité

Plus que jamais, il s’agit de poser les bases d’une charte éditoriale solide avec des contenus de qualité. C’est-à-dire :

  • Des sujets centrés sur l’intérêt de sa cible marketing. Ce qui nécessite une bonne connaissance de ses clients et prospects mais également une analyse constante des performances de sa stratégie.
  • Des contenus authentiques, rédigés par l’homme et reflet des valeurs de l’entreprise. Mais aussi de la créativité, du sens et un soin particulier à la conception.

Le GEO au-delà du SEO

Le Generative Engine Optimization, c’est le Search Engine Optimization transposé aux agents IA tels que Mistral, Copilot, Gemini ou encore Chat GPT. N’oublions pas non plus les moteurs génératifs, c’est-à-dire des moteurs de recherche perfusés à l’IA comme AI Overviews dans Google et récemment SearchGPT.

La différence majeure entre les deux : les moteurs de recherches fournissent des listent de résultats tandis que les agents IA promettent de répondre directement à une question posée en agrégeant des contenus. Le travail de référencement évolue donc en conséquence.

Comment mener une stratégie GEO efficace ?

On conserve les bonnes pratiques fondamentales du SEO pour assurer l’indexation de son site. Et on renforce le travail sur :

  • La structurations de contenus et notamment la conception d’éléments faciles à appréhender pour les agents IA comme des questions/réponses, des listes, des tableaux…
  • L’ajout d’éléments d’autorité, c’est à dire tout ce qui peut apporter du crédit (études, citations d’experts, sources détaillées…)
  • La diffusion multicanale. Utilisez tous vos dispositifs pour valoriser le contenu produit : email marketing, fiche établissement Google et bien-sûr réseaux sociaux.

*Selon une étude d’Ahrefs d’avril 2025, les contenus sont désormais hybrides : 2,5 % pure IA, 25,8 % pur humain, et 71,7 % en mix humain + IA.
**Selon un post de Nick Turley, VP d’OpenAI sur X (ex Twitter), en trois ans, ChatGPT est passé de 100 à 700 millions d’utilisateurs actifs hebdomadaires.
***Source Adobe Express 16/05/2024

IA et rédaction web : un bon duo ?

IA et rédaction web : un bon duo ?

générer des prospects via un site web

IA et rédaction web : un bon duo ?

Chat GPT, Google Gemini (ex Bard), Microsoft Copilot… Le recours aux intelligences artificielles génératives pour la production de contenu se généralise. Certes, elles offrent un gain de temps et une exhaustivité assez déconcertante. Mais quels sont les risques à en abuser ? Voici mon [humble] avis sur le sujet.

Primo : l’honnêteté intellectuelle

Je reçois régulièrement des offres de sous-traitance par email : on m’y propose des articles à très bas coût pour mes clients grâce à une rédaction 100% IA. Je m’interroge : comment pourrais-je vendre des prestations pour lesquelles j’aurais l’impression de mentir à mes clients ? Pire : quelle est ma valeur ajoutée si je laisse l’IA faire mon job ?

En clair… Dresser un plan pour un article ou un livre blanc puis le soumettre à l’IA pour vérifier que je n’ai rien omis : ok. Mais lui demander de faire le boulot de rédaction à ma place : niet ! Demander à l’IA un mémo sur un sujet pour que je puisse ensuite orienter mes recherches : oui. Lui demander de faire tout le travail : non ! J’ajouterai que c’est même risqué. A titre d’exemple, j’ai sollicité l’an dernier Google Bard pour obtenir des informations sur l’éolien. J’ai ainsi obtenu différentes données très pertinentes provenant de plusieurs études. Or une statistique m’a semblée étrange… Vérification faite : l’item étant mal formulé, le chiffre indiqué par l’IA devenait complètement faux.

Mes étudiants me demandent souvent s’ils peuvent utiliser l’IA pour corriger leurs fautes de syntaxe et d’orthographe. Je leur réponds oui évidemment et les mets en garde sur le fait, d’une part que leur lecteur ou correcteur n’est pas un lapin de six semaines et saura identifier un contenu intégralement généré par IA, d’autre part les détecteurs d’IA sont désormais très efficaces et permettraient de les confondre.

 

Secundo : la plume et le style d’écriture

Imaginez un web où tout le contenu serait uniformisé à la sauce wikipédia. Des rédactionnels sans saveur, sans humeur, sans style, sans fun… juste 100% plats. Comme si on nous servait en boucle de l’information brute, en supprimant les chroniqueurs, les humoristes, les éditorialistes… Bonjour l’ennui !
Selon moi, le style c’est justement ce que doit cultiver un bon rédacteur web. Pour donner envie au lecteur d’aller jusqu’au dernier mot. Pour le faire sourire, le faire réfléchir et surtout lui donner du plaisir à lire.

 

Tertio : l’uniformisation des contenus

Avez-vous déjà essayé de proposer deux ou trois fois de suite le même prompt à Chat GPT ? Vous obtiendrez certes trois résultats qui semblent différents mais in fine, en regardant à la loupe, le contenu reste en substance le même. Seuls l’ordre et les phrases changent. Car contrairement à l’homme, l’IA n’est pas encore capable d’apporter de la nuance, de construire un raisonnement de pensée en s’appuyant sur des statistiques pas plus que de parler de son expérience.
Ainsi, sur le fond, si tout le monde se met à utiliser l’IA, le contenu web sera lissé, standardisé et à terme appauvri. Si l’internaute recherche des informations sur un sujet et qu’il a l’impression de lire toujours la même chose, il risque de se détourner de web. Car n’est-ce pas justement la richesse et la diversité de contenu que l’on attend d’Internet ?

 

Pour répondre à la question de fond : « Peut-on utiliser l’intelligence artificielle pour faire le job d’un rédacteur web ? », on pourrait finalement débattre sur le rôle intrinsèque de l’IA générative. En somme la rédaction de contenus pour le web est-elle une tâche à faible valeur ajoutée ? Personnellement, je pense que si l’on me confie des contenus à réaliser, ce n’est pas parce que je propose des services économiques, mais bien parce que j’offre un contenu pertinent, bien construit, soigneusement rédigé et également optimisé pour le référencement naturel. Et je vais même plus loin en réfléchissant à une cohérence éditoriale, en identifiant le bon format, en croisant les contenus complémentaires ou encore en surfant sur l’actualité.

 

IA générative et SEO : qu’en dit Google ?

Google, le maître du SEO, s’est prononcé de manière assez vague sur le sujet en indiquant en substance que le recours à l’IA pour la génération de contenus web lui importait peu tant que la valeur ajoutée pour l’internaute était respectée. D’où la mise à jour HCU de son algorithme d’ailleurs. Mais rappelons que la logique de son moteur de recherche est de proposer le contenu le plus pertinent possible à l’internaute. Or, comme je l’ai écrit plus haut, l’IA offre aujourd’hui un style trop plat et surtout des éléments uniformisés. 

La communauté des référenceurs a déjà réalisé des tests pour comparer la performance de contenus générés par l’IA versus celle de ceux produits ‘à la main’. Les résultats sont sans appel : la rédaction web de la main de l’homme est trois fois mieux référencée que celle écrite par l’intelligence artificielle.

 

Ne vous méprenez pas, je ne fais surtout pas le procès de l’IA. Je pense simplement qu’elle doit être utilisée judicieusement et faire le travail à nos côtés plutôt qu’à notre place. Si le sujet vous intéresse, voici quelques pistes d’utilisation de l’intelligence artificielle dans le métier de freelance web.

Comment générer des prospects via le web ?

Comment générer des prospects via le web ?

générer des prospects via un site web

Comment générer des prospects via le web ?

Voilà plus de 20 ans que j’accompagne des professionnels dans leur stratégie d’acquisition de trafic web. Qu’ils soient dans l’univers du bâtiment, du tourisme, de l’industrie, de la communication, du droit ou encore des métiers de bouche… leur problématique est la même : générer des prospects qualifiés grâce à Internet. Faisons le point sur les solutions…

1 – Disposer d’un site bien référencé

 

C’est la base ! L’objectif d’une stratégie de référencement est de faire en sorte que les internautes qui interrogent les moteurs de recherche en quête d’un professionnel tombent rapidement sur votre site Internet.
Pour avoir un bon SEO (référencement naturel), il faut un site de qualité, efficace d’un point de vue marketing mais aussi un site populaire.
Première étape : on travaille en premier lieu sur une stratégie de positionnement qui permet de définir les termes pertinents selon votre/vos activités. Puis on les déploie judicieusement sur le site tout en optimisant l’ensemble des pages selon les critères des principaux moteurs de recherche comme Google.
Mais attention, une stratégie de SEO n’est pas du ‘one-shot’. Il faut l’envisager sur le long terme. Il s’agit notamment d’alimenter régulièrement le site en nouveaux contenus et de trouver des solutions pour le rendre populaire (que d’autres sites y fassent référence, qu’il génère de l’engagement sur les réseaux sociaux…).

Bénéfice :  faire entrer votre site dans un cercle vertueux de trafic et ainsi générer des prospects, via un formulaire de contact par exemple. Ce n’est pas pour rien que l’on rabâche que le référencement naturel est le levier d’acquisition de trafic le plus durable et rentable.

 

2 – Créer un blog

Je viens de l’écrire : pour un bon SEO, il faut un contenu à valeur ajoutée et régulièrement enrichi. Or le blog répond parfaitement à ces exigences.
L’idée est de créer une rubrique actualités dans votre site qui vous permettra de vous exprimer sur votre marché, ses tendances mais aussi les nouveautés de votre entreprise (réalisations, engagement RSE, démarche R&D…) ou encore de proposer des conseils. Un bon moyen en outre de valoriser votre savoir-faire et de donner l’image d’une entreprise dynamique.

Bénéfice : un contenu prêt à l’emploi pour alimenter vos autres canaux de communication comme les newsletters et réseaux sociaux tout en favorisant le référencement naturel du site.

 

3 – Miser sur les liens sponsorisés

 

Une baisse d’activité ? Des carnets de commande pas assez garnis à votre goût ?
Les liens sponsorisés sur Google constituent, dans la plupart des secteurs d’activités pour lesquels je les ai testés, un bon moyen de générer du trafic sur votre site et donc des demandes de contact ou des appels entrants.
Combien ça coûte ? Je préconise d’investir un budget publicitaire quotidien de 5 à 30€ et de tester une campagne sur une quinzaine de jours.

Bénéfice : un levier de communication efficace à très court terme.

 

4 – Mettre en place une newsletter

 

S’il y a bien une règle d’or en communication, c’est celle d’avoir une prise de parole régulière pour que vos clients et prospects ne vous oublient pas. La newsletter répond parfaitement à ce paradigme.
Qu’est-ce qu’on y raconte ? On reprend les articles de son blog et on peut y ajouter quelques petites informations plus courtes (nouveaux services, nouveauté produit, présence sur un salon…).
A quelle fréquence : tout dépend de votre secteur d’activité. Certains de mes clients envoient une newsletter par semaine alors que d’autres n’en envoient que deux ou trois par an.

Bénéfice : un outil de communication très peu coûteux qui permet de se rappeler aux bons souvenirs de son fichier d’adresses via du contenu.

 

5 – Livre blanc / guide avec landing page

 

Dans certains secteurs B2B et quand le processus de décision pour souscrire vos services ou acheter vos produits est long, le livre blanc peut se révéler très efficace.
Le principe : vous créez un format de contenu à haute valeur ajoutée concernant votre domaine d’expertise. Puis vos prospects peuvent le télécharger gratuitement, après avoir laissé leurs coordonnées. Pour en favoriser la diffusion, on alloue un peu de budget publicitaire (liens sponsorisés ou réseaux sociaux selon le cas de figure).
Voici deux exemples concrets :
– Il y a quelques années, pour une agence de communication digitale, j’ai réalisé un livre blanc sur l’outil Google Business Profile. Objectif : favoriser des demandes entrantes de clients en quête de stratégie web.
– Plus récemment, pour un cabinet d’architectes, j’ai créé un magazine d’une trentaine de page sur des conseils en aménagement intérieur. Objectif : créer un fichier de prospects.

Bénéfice : un DISPOSITIF CERTES UN PEU LOURD A METTRE EN OEUVRE MAIS TRES EFFICACE.

 

6 – Réseaux sociaux

Comme écrit plus haut : la communication régulière est l’une des clés de votre succès. Je répète souvent cet exemple à mes étudiants… « Si je vous explique que je dois remplacer mon pare-brise, vous me dites ? » Ils répondent alors tous en cœur : « Carglass ». C’est grâce à une stratégie publicitaire insistante et récurrente que cette entreprise s’est offert cette réponse unanime et spontanée de notre part. CQFD !
Alors quand on n’a pas le budget pour faire des campagnes de pub nationales sur TF1 ou à la radio, on peut, même à moindre échelle, prendre la parole régulière sur les réseaux sociaux.
Vous êtes en panne d’inspiration ? Pas de panique, je peux vous aider à concevoir une charte et un planning éditorial !

Bénéfice : un autre outil de communication peu coûteux et bon vecteur d’image de marque.

 

Bien que j’aie évoqué ci-dessus quelques pistes, ce n’est que la partie digitale de l’exercice. Une fois les prospects collectés, il faut évidemment penser à concevoir une stratégie commerciale efficace pour les contacter. Et là c’est à vous de jouer 😉

Le contenu de qualité : nouveau roi du référencement naturel

Le contenu de qualité : nouveau roi du référencement naturel

qualité de contenu, valeur ajoutée et référencement naturel

Le contenu de qualité : nouveau roi du référencement naturel

 

Avez-vous entendu parler de HCU, la dernière mise à jour de l’algorithme d’indexation Google pour Helpful Content Update ? Il a été déployé officiellement fin septembre dernier et vise à favoriser les contenus de qualité et jugés comme utiles aux internautes.

Doit-on y voir une réaction à l’expansion des contenus générés par l’Intelligence Artificielle ? Difficile à dire…

 

On le sait, un contenu bien rédigé, bien structuré et fréquemment mis à jour est important dans une stratégie SEO (search engine optimization). Depuis quelques mois, je reçois régulièrement des propositions de prestataires qui me vendent des articles à bas coût, générés grâce à l’IA (ils ne s’en cachent pas et le revendiquent même). Au secours… ! Je ne dis pas qu’il faut fuir l’IA et l’utilise d’ailleurs moi-même. En revanche, je pense que ce formidable outil doit être une aide et non faire le travail à notre place. Le risque : avoir à terme des contenus lissés, uniformisés et manquant cruellement de style.

Mais revenons à nos moutons : l’algorithme HCU. Concrètement, comment y souscrire ?

 

Un travail de fond et orienté utilisateur d’un bout à l’autre du site

Première chose, il semble que l’algorithme analyse la valeur ajoutée de l’ensemble des pages du site. Il faut donc soigner son contenu page par page. On évite les agrégats de contenus sans apport et on se pose la question de la pertinence de chaque élément. Mieux : on y ajoute sa note personnelle et une dose de nouveauté. Objectif : ne pas étourdir gratuitement l’internaute-lecteur sous une tonne de mots mais aller dans le sens d’un gain d’information et d’un contenu éclairant ou inspirant. La qualité plutôt que la quantité (et la quantité de qualité c’est le graal !).

N’hésitez pas à reparcourir les pages du site. Si c’est inutile ou carrément mauvais : on supprime !

Et pour qu’un contenu soit utile il doit aussi être lisible. On apporte donc un soin particulier à la structure (construction, balises, bonnes pratiques journalistiques…) et l’accessibilité (choix de la police, poids des images…).

Enfin, on pense à favoriser l’accès à l’information via des liens judicieux entre les pages et articles ou encore à créer des tables de matière pour les contenus plus denses.

 

Le cercle vertueux du contenu web

Seconde chose : orienter la démarche vers une stratégie de création de contenu.

Qu’il s’agisse d’articles de blog ou de livres blancs, j’ai l’habitude de réaliser des contenus sur-mesure pour mes clients. Au départ ils sont sceptiques : ‘qu’est-ce que ma société a à dire… ?’ ; ‘quels contenus peuvent présenter un intérêt pour mes prospects et clients… ?’. Puis ils réalisent que le contenu permet d’entrer dans un cercle vertueux : mise à jour du site, image d’expert métier, communication régulière… et donc référencement naturel et trafic. Qui plus est, ces contenus leur donnent matière à une prise de parole sur les réseaux sociaux, l’envoi de newsletters et la mise à jour de leur fiche établissement Google.

Un cercle vertueux d’autant plus apprécié qu’il offre un excellent retour sur investissement (par rapport à la publicité par exemple) et dégage une image de marque très positive de leur entreprise.

 

Encore une nouvelle mise à jour de l’algorithme très positive puisqu’elle va toujours dans le sens de l’amélioration de l’expérience utilisateur. Charge aux sites de s’adapter en privilégiant la qualité via un vrai travail de conception et rédaction web.

10 conseils pour rédiger un article de blog efficace

10 conseils pour rédiger un article de blog efficace

Comment rédiger un article efficace pour son blog ?

10 conseils pour rédiger un article de blog efficace

On parle beaucoup de « copywriting’ et de « ghostwriting », techniques de rédaction pour le web visant à favoriser votre entreprise ou votre marque grâce à la publication sur le web de contenus de qualité. Alors j’ai voulu faire un test en demandant à l’intelligence artificielle de m’aider à rédiger cet article. Ces conseils sont donc le fruit de ma collaboration avec une machine ! (rendez-vous en fin d’article pour que je vous explique la démarche).

1. Choisissez un sujet qui vous intéresse

La motivation est la clé de la rédaction d’un article de blog de qualité. Si vous écrivez sur un sujet qui vous branche vraiment, vous serez plus enclin à fournir un travail de qualité et à y consacrer du temps. Or normalement, c’est censé être le cas de votre secteur d’activité, non ?

 

2. Faites des recherches approfondies

On ne le répétera jamais assez : la clé de voûte de votre contenu c’est sa valeur ajoutée, c’est à dire votre capacité à apporter une information pertinente à l’internaute qui vous lira. Alors avant de commencer à rédiger, assurez-vous d’avoir une bonne connaissance du sujet sur lequel vous allez écrire et n’hésitez pas à réaliser des recherches poussées pour les compléter et intégrer des sources. Cela vous permettra de fournir des informations précises et de qualité à vos lecteurs.

 

3. Structurez votre contenu

Avant de commencer à rédiger, prenez le temps de créer une structure pour votre article avec une introduction, des rubriques, des titres et sous-titres ou encore des encadrés, des témoignages… Essayez notamment de développer une seule idée par paragraphe. Cela vous permettra de mieux organiser vos idées et de rendre votre article plus facile à lire et surtout plus dynamique.

 

4. Soignez le style

Faites attention à votre style d’écriture : pour que votre article soit efficace, il est important que votre manière d’écrire soit claire et facile à comprendre. Évitez les phrases trop longues et utilisez des mots simples. Ne noyez pas le lecteur avec des termes trop techniques ou alors expliquez-les. Enfin, adoptez un ton adapté à votre cible et au support web, moins formel.

 

5. Soyez concis

Ne vous éparpillez pas et restez concentré sur votre sujet. Plus votre article sera concis, plus il sera facile à lire et à comprendre pour vos lecteurs. Pour autant, si vous abordez un vaste sujet qui nécessite un contenu dense, je ne peux que vous ramener au conseil numéro 3 car la structure permettra assurément de le rendre plus digeste. Et si vraiment il y a trop d’infos, vous pouvez par exemple scinder les éléments en plusieurs articles pour créer un dossier thématique.

 

6. Faites attention à l’orthographe et à la grammaire

Un article bien écrit et sans fautes d’orthographe et de grammaire est plus agréable à lire et crédible pour vos lecteurs. Utilisez un correcteur d’orthographe pour vous assurer que votre article est exempt de fautes. Mieux : demandez une relecture par un tiers qui en plus d’apporter des corrections pourra vous donner un avis objectif sur le contenu et la mise en forme.

 

7. Ajoutez des images et des vidéos

Les images et les vidéos sont un excellent moyen de rendre votre article plus attrayant et facile à comprendre. Elles permettent également de rompre la monotonie de l’article et de captiver l’attention des lecteurs. Pas de panique si vous n’êtes pas un pro du montage vidéo, il existe des outils très simples comme Canva. En outre, soignez particulièrement le visuel principal de votre article (et sa vignette) qui constitueront l’élément déterminant qui donnera envie -ou pas- à l’internaute de cliquer pour lire votre article.

 

8. Faites appel à l’émotion

Pour que votre article soit efficace, il est important de toucher les émotions de vos lecteurs. Utilisez des anecdotes et des exemples pour illustrer votre propos et susciter l’empathie de vos lecteurs. Vous pouvez aussi intégrer une dimension personnelle à votre article pour lui offrir un aspect plus authentique.

 

9. Soignez la forme

C’est une règle élémentaire en communication : le meilleur contenu du monde ne sera pas lu s’il n’est pas emballé dans une jolie mise en forme. (Et à l’inverse, une mise en forme soignée ne suffira pas à favoriser la lecture d’un mauvais article.) Donc prenez le temps de réaliser une jolie mise en forme, du choix de la police de caractère à des alignements parfaits, de jolis visuels à une structure bien propre.

 

10. Appelez à l’action

Rédiger un article pour valoriser votre savoir-faire, c’est bien. Proposer à l’internaute qui a lu cet article de passer à l’action (en vous contactant, en demandant un devis, en commandant votre produit…) : c’est mieux !

Vous l’aurez compris : rédiger un article à valeur ajoutée pour votre blog ne peut pas se faire en 5 minutes. Il faut prendre le temps de bien préparer et structurer le contenu, de rédiger posément, de soigner la mise en page et de bien réfléchir à valoriser l’ensemble.

A lire aussi : Le contenu de qualité, nouveau roi du référencement naturel

Crédit photo : (c’est aussi une IA) Dall.e

Comment l’IA m’a aidée…

J’aurais pu vous dire que j’ai écrit cet article seule… mais c’est faux et je suis honnête.
L’objectif de cet article était de tester ce nouvel outil en conditions réelles.
Alors j’ai écrit le titre et lui ai demandé de m’écrire sur ce sujet un article de 800 mots. Je n’en ai obtenu que 370 mais il me semble que c’est la limite de la version d’essai que j’ai utilisée.
Je me suis donc servie de cette base que j’ai réécrite et enrichie (pour arriver à 780 mots).
Globalement, j’ai trouvé les éléments produits très qualitatifs, que ce soit les conseils comme la manière de rédiger. La seule critique que je pourrais lui adresser est d’y avoir trouvé un peu trop de répétitions à mon goût. En revanche : ni faute de grammaire ou de conjugaison pas plus que de faute d’orthographe.

Je suis allée encore plus loin puisque je lui ai aussi demandé de me rédiger les balises du référencement naturel. Et là je suis bluffée ! Conclusion : ce nouvel outil sera certainement une aide précieuse dans les prochaines années, en particulier sur certaines tâches de SEO longues et fastidieuses. Objectif : utiliser l’IA pour défricher le terrain et produire un premier jet afin de me dégager du temps au services de tâches à réelle valeur ajoutée. 

Google Business Profile : 1er outil de votre présence web

Google Business Profile : 1er outil de votre présence web

C’est l’outil qui a coiffé les Pages Jaunes au poteau ! Il est incontournable car massivement utilisé par les internautes… et pourtant il demeure souvent sous-exploité par les professionnels. Petit tour d’horizon des fonctionnalités Google Business Profile (ex Google My Business que l’on appelle aussi ‘Fiche Google établissement’) à adopter d’urgence !

 

Toutes les infos de votre entreprise à un seul endroit

Votre logo, votre adresse, celle de votre site web, vos horaires, votre numéro de téléphone : l’internaute y trouve en un clin d’œil toutes les infos de votre entreprise. Qui plus est : ces dernières s’affichent directement dans ses résultats de recherche Google !
Et grâce aux boutons d’action, il peut visiter votre site web, lancer Google Maps pour se rendre chez vous, vous appeler directement depuis son téléphone, demander un devis… y’a qu’à cliquer ;
Tout y est ultra simple !

et même plus…

Saviez-vous que sur Google Business Profile vous pouvez également :

  • lister vos services,
  • afficher vos produits et les regrouper car catégories,
  • intégrer un bouton de demande de devis,
  • et même créer votre mini site web ?

Tout ceci à partir de l’interface accessible via le lien https://business.google.com/.

 

Le volet social des fiches Google

La fiche établissement Google propose plusieurs fonctionnalités sociales.

  • Une fonction ‘post’ qui vous permet de publier une actualité comme sur un réseau social. Nouveau produit, nouveau service, événement, relai d’un article de blog ou toute autre information. Le post ainsi créé sera mis en avant pendant 7 jours directement en bas de la fiche.
  • Une fonction messagerie. C’est à vous de l’activer. Auquel cas vous recevez directement sur votre ordinateur ou smartphone les questions des internautes, un peu à la manière d’un chat Facebook.
  • Et bien sûr la collecte d’avis client au service de votre e-réputation. N’hésitez pas à solliciter des avis auprès de vos clients. Et pensez à répondre avec empathie, de manière simple et individuelle aux avis reçus (bons comme mauvais). Sachez par exemple que vos nombre d’avis (et une bonne note) favoriseront la visibilité de votre entreprise dans Google Maps.

Pour tirer parti de l’outil Google, je vous recommande de le compléter le plus possible (information, horaires, logo, photos…) et surtout de le mettre très régulièrement à jour.
Cet outil évolue constamment. Comptez sur moi pour vous donner un max d’astuces et vous informer des prochaines nouveautés de Google Business Profile ! 

Mes petits tutos vidéo pour mieux utiliser Google Business Profile :

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