Comment générer des prospects via le web ?

Comment générer des prospects via le web ?

générer des prospects via un site web

Comment générer des prospects via le web ?

Voilà plus de 20 ans que j’accompagne des professionnels dans leur stratégie d’acquisition de trafic web. Qu’ils soient dans l’univers du bâtiment, du tourisme, de l’industrie, de la communication, du droit ou encore des métiers de bouche… leur problématique est la même : générer des prospects qualifiés grâce à Internet. Faisons le point sur les solutions…

1 – Disposer d’un site bien référencé

 

C’est la base ! L’objectif d’une stratégie de référencement est de faire en sorte que les internautes qui interrogent les moteurs de recherche en quête d’un professionnel tombent rapidement sur votre site Internet.
Pour avoir un bon SEO (référencement naturel), il faut un site de qualité, efficace d’un point de vue marketing mais aussi un site populaire.
Première étape : on travaille en premier lieu sur une stratégie de positionnement qui permet de définir les termes pertinents selon votre/vos activités. Puis on les déploie judicieusement sur le site tout en optimisant l’ensemble des pages selon les critères des principaux moteurs de recherche comme Google.
Mais attention, une stratégie de SEO n’est pas du ‘one-shot’. Il faut l’envisager sur le long terme. Il s’agit notamment d’alimenter régulièrement le site en nouveaux contenus et de trouver des solutions pour le rendre populaire (que d’autres sites y fassent référence, qu’il génère de l’engagement sur les réseaux sociaux…).

Bénéfice :  faire entrer votre site dans un cercle vertueux de trafic et ainsi générer des prospects, via un formulaire de contact par exemple. Ce n’est pas pour rien que l’on rabâche que le référencement naturel est le levier d’acquisition de trafic le plus durable et rentable.

 

2 – Créer un blog

Je viens de l’écrire : pour un bon SEO, il faut un contenu à valeur ajoutée et régulièrement enrichi. Or le blog répond parfaitement à ces exigences.
L’idée est de créer une rubrique actualités dans votre site qui vous permettra de vous exprimer sur votre marché, ses tendances mais aussi les nouveautés de votre entreprise (réalisations, engagement RSE, démarche R&D…) ou encore de proposer des conseils. Un bon moyen en outre de valoriser votre savoir-faire et de donner l’image d’une entreprise dynamique.

Bénéfice : un contenu prêt à l’emploi pour alimenter vos autres canaux de communication comme les newsletters et réseaux sociaux tout en favorisant le référencement naturel du site.

 

3 – Miser sur les liens sponsorisés

 

Une baisse d’activité ? Des carnets de commande pas assez garnis à votre goût ?
Les liens sponsorisés sur Google constituent, dans la plupart des secteurs d’activités pour lesquels je les ai testés, un bon moyen de générer du trafic sur votre site et donc des demandes de contact ou des appels entrants.
Combien ça coûte ? Je préconise d’investir un budget publicitaire quotidien de 5 à 30€ et de tester une campagne sur une quinzaine de jours.

Bénéfice : un levier de communication efficace à très court terme.

 

4 – Mettre en place une newsletter

 

S’il y a bien une règle d’or en communication, c’est celle d’avoir une prise de parole régulière pour que vos clients et prospects ne vous oublient pas. La newsletter répond parfaitement à ce paradigme.
Qu’est-ce qu’on y raconte ? On reprend les articles de son blog et on peut y ajouter quelques petites informations plus courtes (nouveaux services, nouveauté produit, présence sur un salon…).
A quelle fréquence : tout dépend de votre secteur d’activité. Certains de mes clients envoient une newsletter par semaine alors que d’autres n’en envoient que deux ou trois par an.

Bénéfice : un outil de communication très peu coûteux qui permet de se rappeler aux bons souvenirs de son fichier d’adresses via du contenu.

 

5 – Livre blanc / guide avec landing page

 

Dans certains secteurs B2B et quand le processus de décision pour souscrire vos services ou acheter vos produits est long, le livre blanc peut se révéler très efficace.
Le principe : vous créez un format de contenu à haute valeur ajoutée concernant votre domaine d’expertise. Puis vos prospects peuvent le télécharger gratuitement, après avoir laissé leurs coordonnées. Pour en favoriser la diffusion, on alloue un peu de budget publicitaire (liens sponsorisés ou réseaux sociaux selon le cas de figure).
Voici deux exemples concrets :
– Il y a quelques années, pour une agence de communication digitale, j’ai réalisé un livre blanc sur l’outil Google Business Profile. Objectif : favoriser des demandes entrantes de clients en quête de stratégie web.
– Plus récemment, pour un cabinet d’architectes, j’ai créé un magazine d’une trentaine de page sur des conseils en aménagement intérieur. Objectif : créer un fichier de prospects.

Bénéfice : un DISPOSITIF CERTES UN PEU LOURD A METTRE EN OEUVRE MAIS TRES EFFICACE.

 

6 – Réseaux sociaux

Comme écrit plus haut : la communication régulière est l’une des clés de votre succès. Je répète souvent cet exemple à mes étudiants… « Si je vous explique que je dois remplacer mon pare-brise, vous me dites ? » Ils répondent alors tous en cœur : « Carglass ». C’est grâce à une stratégie publicitaire insistante et récurrente que cette entreprise s’est offert cette réponse unanime et spontanée de notre part. CQFD !
Alors quand on n’a pas le budget pour faire des campagnes de pub nationales sur TF1 ou à la radio, on peut, même à moindre échelle, prendre la parole régulière sur les réseaux sociaux.
Vous êtes en panne d’inspiration ? Pas de panique, je peux vous aider à concevoir une charte et un planning éditorial !

Bénéfice : un autre outil de communication peu coûteux et bon vecteur d’image de marque.

 

Bien que j’aie évoqué ci-dessus quelques pistes, ce n’est que la partie digitale de l’exercice. Une fois les prospects collectés, il faut évidemment penser à concevoir une stratégie commerciale efficace pour les contacter. Et là c’est à vous de jouer 😉

Elise Roussel

Elise Roussel

Freelance en marketing digital

Freelance depuis 15 ans, j’ai fait mes armes en stratégies d’acquisition de trafic en agence web via différents leviers (référencement payant, liens sponsorisés, affiliation, emailing, jeux-concours…). Depuis que je suis freelance, on me confie régulièrement des missions de prospection web. Deux cas de figure principaux :

  • des clients qui créent leur entreprise et ont donc besoin d’aller chercher des prospects via le web,
  • des sociétés qui me demandent de contribuer à la croissance de leur activité.

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qualité de contenu, valeur ajoutée et référencement naturel

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Avez-vous entendu parler de HCU, la dernière mise à jour de l’algorithme d’indexation Google pour Helpful Content Update ? Il a été déployé officiellement fin septembre dernier et vise à favoriser les contenus de qualité et jugés comme utiles aux internautes.

Doit-on y voir une réaction à l’expansion des contenus générés par l’Intelligence Artificielle ? Difficile à dire…

 

On le sait, un contenu bien rédigé, bien structuré et fréquemment mis à jour est important dans une stratégie SEO (search engine optimization). Depuis quelques mois, je reçois régulièrement des propositions de prestataires qui me vendent des articles à bas coût, générés grâce à l’IA (ils ne s’en cachent pas et le revendiquent même). Au secours… ! Je ne dis pas qu’il faut fuir l’IA et l’utilise d’ailleurs moi-même. En revanche, je pense que ce formidable outil doit être une aide et non faire le travail à notre place. Le risque : avoir à terme des contenus lissés, uniformisés et manquant cruellement de style.

Mais revenons à nos moutons : l’algorithme HCU. Concrètement, comment y souscrire ?

 

Un travail de fond et orienté utilisateur d’un bout à l’autre du site

Première chose, il semble que l’algorithme analyse la valeur ajoutée de l’ensemble des pages du site. Il faut donc soigner son contenu page par page. On évite les agrégats de contenus sans apport et on se pose la question de la pertinence de chaque élément. Mieux : on y ajoute sa note personnelle et une dose de nouveauté. Objectif : ne pas étourdir gratuitement l’internaute-lecteur sous une tonne de mots mais aller dans le sens d’un gain d’information et d’un contenu éclairant ou inspirant. La qualité plutôt que la quantité (et la quantité de qualité c’est le graal !).

N’hésitez pas à reparcourir les pages du site. Si c’est inutile ou carrément mauvais : on supprime !

Et pour qu’un contenu soit utile il doit aussi être lisible. On apporte donc un soin particulier à la structure (construction, balises, bonnes pratiques journalistiques…) et l’accessibilité (choix de la police, poids des images…).

Enfin, on pense à favoriser l’accès à l’information via des liens judicieux entre les pages et articles ou encore à créer des tables de matière pour les contenus plus denses.

 

Le cercle vertueux du contenu web

Seconde chose : orienter la démarche vers une stratégie de création de contenu.

Qu’il s’agisse d’articles de blog ou de livres blancs, j’ai l’habitude de réaliser des contenus sur-mesure pour mes clients. Au départ ils sont sceptiques : ‘qu’est-ce que ma société a à dire… ?’ ; ‘quels contenus peuvent présenter un intérêt pour mes prospects et clients… ?’. Puis ils réalisent que le contenu permet d’entrer dans un cercle vertueux : mise à jour du site, image d’expert métier, communication régulière… et donc référencement naturel et trafic. Qui plus est, ces contenus leur donnent matière à une prise de parole sur les réseaux sociaux, l’envoi de newsletters et la mise à jour de leur fiche établissement Google.

Un cercle vertueux d’autant plus apprécié qu’il offre un excellent retour sur investissement (par rapport à la publicité par exemple) et dégage une image de marque très positive de leur entreprise.

 

Encore une nouvelle mise à jour de l’algorithme très positive puisqu’elle va toujours dans le sens de l’amélioration de l’expérience utilisateur. Charge aux sites de s’adapter en privilégiant la qualité via un vrai travail de conception et rédaction web.

Elise Roussel

Elise Roussel

Freelance en marketing digital

Freelance depuis 14 ans, le référencement naturel fait partie de mes domaines de prédilection. Le SEO est un secteur passionnant qui mêle technique et marketing et surtout qui évolue constamment.
J’ai fait mes armes en agence web puis développe et renouvelle sans cesse cette compétence par une veille permanente.

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C’est l’outil qui a coiffé les Pages Jaunes au poteau ! Il est incontournable car massivement utilisé par les internautes… et pourtant il demeure souvent sous-exploité par les professionnels. Petit tour d’horizon des fonctionnalités Google Business Profile (ex Google My Business que l’on appelle aussi ‘Fiche Google établissement’) à adopter d’urgence !

 

Toutes les infos de votre entreprise à un seul endroit

Votre logo, votre adresse, celle de votre site web, vos horaires, votre numéro de téléphone : l’internaute y trouve en un clin d’œil toutes les infos de votre entreprise. Qui plus est : ces dernières s’affichent directement dans ses résultats de recherche Google !
Et grâce aux boutons d’action, il peut visiter votre site web, lancer Google Maps pour se rendre chez vous, vous appeler directement depuis son téléphone, demander un devis… y’a qu’à cliquer ;
Tout y est ultra simple !

et même plus…

Saviez-vous que sur Google Business Profile vous pouvez également :

  • lister vos services,
  • afficher vos produits et les regrouper car catégories,
  • intégrer un bouton de demande de devis,
  • et même créer votre mini site web ?

Tout ceci à partir de l’interface accessible via le lien https://business.google.com/.

 

Le volet social des fiches Google

La fiche établissement Google propose plusieurs fonctionnalités sociales.

  • Une fonction ‘post’ qui vous permet de publier une actualité comme sur un réseau social. Nouveau produit, nouveau service, événement, relai d’un article de blog ou toute autre information. Le post ainsi créé sera mis en avant pendant 7 jours directement en bas de la fiche.
  • Une fonction messagerie. C’est à vous de l’activer. Auquel cas vous recevez directement sur votre ordinateur ou smartphone les questions des internautes, un peu à la manière d’un chat Facebook.
  • Et bien sûr la collecte d’avis client au service de votre e-réputation. N’hésitez pas à solliciter des avis auprès de vos clients. Et pensez à répondre avec empathie, de manière simple et individuelle aux avis reçus (bons comme mauvais). Sachez par exemple que vos nombre d’avis (et une bonne note) favoriseront la visibilité de votre entreprise dans Google Maps.

Pour tirer parti de l’outil Google, je vous recommande de le compléter le plus possible (information, horaires, logo, photos…) et surtout de le mettre très régulièrement à jour.
Cet outil évolue constamment. Comptez sur moi pour vous donner un max d’astuces et vous informer des prochaines nouveautés de Google Business Profile ! 

Mes petits tutos vidéo pour mieux utiliser Google Business Profile :

Créer un lien direct vers les avis Google

Activer le bouton de demande de devis

Obtiendrez-vous votre pass Co-DIG ?

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Avec la pandémie, c’est le statu CO : VIDés de leur énergie, les TPE, PME et indépendants peinent à relancer la communication, souvent relayée en bas de leur to-do-list. Et pourtant, c’est LE levier à actionner pour relancer les affaires ; le robinet à garder grand ouvert si l’on veut se remettre en selle !

Faites cet auto-test pour réaliser vous-même un diagnostic de votre com’ digitale.

 

1/ Envoyer un e-mail ou une carte de vœux à vos clients, c’est…

✳️ Un incontournable

🅾️ Ça me saoule mais je le fais !

⚛️ Du temps et de l’argent perdus

 

2/ Je publie des infos sur les réseaux concernant mon activité…

✳️ De manière régulière et pertinente

🅾️ Quand j’y pense, je poste plusieurs messages d’un coup pour optimiser mon temps

⚛️ Rarement ou jamais : j’aime pas les réseaux sociaux !

 

3/ J’informe mes clients des nouveautés et actualités relatives à mon activité…

✳️ Via une newsletter ou un blog

🅾️ Par téléphone ou quand je vais au restaurant avec eux

⚛️ Seulement si j’ai quelque chose à vendre

 

4/ Mon site Internet c’est…

✳️ Une vitrine de mon activité que je bichonne régulièrement

🅾️ Une plaquette en ligne un peu poussiéreuse qui date un peu

⚛️ J’ai pas ça moi !

 

5/ Google My Business

✳️ Un outil de communication à part entière, j’en ai conscience.

🅾️ La fiche établissement Google ? j’ai dû créer ça il y a longtemps…

⚛️ C’est quoi encore ce truc ? Et c’est qui Google ?

Résultats

 

Marjorité de ✳️ : vous êtes positif[ve]

Bravo ! Vous êtes une star de la com’ digitale ! Vous maîtrisez l’art de prospecter et fidéliser via le web.
Devenez incollable en référencement naturel, sites wordpress, newsletters ou rédaction web… ayez le réflexe formation : profitez de vos crédits formation !

 

Marjorité de 🅾️ : encore une petite dose ?

Un rappel serait-il nécessaire pour vous accompagner dans votre transformation digitale ? Allez, un petit effort… ! Prenez rendez-vous, je suis votre Docteur Web : cure de revitalisation digitale, thérapie au net, suppo de SEO ou comprimé de e-marketing… demandez une ordonnance !


Majorité de ⚛️ : vous êtes resté confiné[e]

Votre devise c’est ‘pour vivre heureux, vivons cachés’ ? Mais pour votre business, c’est pas top ! Comme disait Flandise (le papa de Flamby) : ‘y’a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis’.
On commence tout doux par une consultation. J’ausculte votre présence digitale. On se met d’accord sur les bénéfices attendus (notoriété, CA…). Vous n’avez pas le temps ? Moi c’est mon job !

 

 

« La communication est une science difficile. Ce n’est pas une science exacte. Ca s’apprend et ça se cultive. »

Jean-Luc Lagardère.

 

Comment profiter de vos crédits formation pour accélérer votre transformation digitale ?

Comment profiter de vos crédits formation pour accélérer votre transformation digitale ?

Vous voulez vous former à l’univers digital pour renforcer la visibilité de votre activité sur le web ? 

Qu’il s’agisse de créer votre site, communiquer sur les réseaux sociaux, apprendre les rouages du référencement naturel ou mettre en place des newsletters… je vous explique ici comment procéder pour utiliser votre crédit formation à bon escient.

 

1. Renseignez-vous sur vos droits à la formation

Grâce à vos cotisations, vous cumulez chaque année des crédits à la formation. Mais par méconnaissance ou simplement par oubli, vous ne pensez pas à les utiliser. Je vous invite par conséquent à consulter votre ‘solde’ via le site Mon Compte Formation. L’identification est ultra rapide ; pas besoin de mille justificatifs ! Et dès la page d’accueil, vous aurez connaissance du montant de vos droits à la formation.

 

2. Déterminons ensemble le programme de votre formation

Parce que chaque ‘cahier des charges’ est unique, il me semble indispensable de créer chaque programme de formation sur mesure. Voici quelques exemples de demandes déjà traitées :

  • Apprendre à créer un site Internet avec WordPress.
  • Savoir communiquer efficacement sur les réseaux sociaux.
  • A partir de dispositifs de communication en ligne existants, obtenir une formation poussée et concrète pour maîtriser le référencement naturel.
  • Dans le cadre d’un projet de site e-commerce, acquisition d’une méthodologie pour écrire le périmètre et identifier les solutions techniques.
  • Pour performer dans la communication digitale, être accompagné dans la définition et le déploiement d’une charte éditoriale et de leviers d’acquisition de trafic

👉 N’hésitez pas à consulter la page de mes programmes de formations digitales pour commencer à affiner votre besoin.

Après avoir défini ensemble les grandes lignes, je me mettrai au travail pour écrire un plan plus détaillé correspondant aux exigences des organismes de formation.

 

3. Convenons des aspects organisationnels et techniques

J’entends par là :

  • Le ou les participants, afin que je puisse adapter mon discours et mes supports à chacun, selon les fonctions et les niveaux,
  • Le mode : présentiel ou visio (selon votre localisation, les éventuelles restrictions liées au contexte et surtout votre préférence !),
  • Le lieu : dans vos locaux, les miens où dans un lieu dédié (type espace de coworking,
  • Le planning : sous-forme de journée(s) ou demi-journée(s)

 

4. Laissez-moi monter le dossier

Datadock, Qualiopi… tout ça vous semble nébuleux et compliqué ? 😉 Bonne nouvelle : je m’en charge !
Je m’occupe de tout écrire et fournir l’ensemble des éléments afin de monter le dossier de demande de financement auprès de votre OPCO pour demander la prise en charge de la formation.

 

5. Et place à la formation !

Après feu vert de l’OPCO, je prends ma casquette de formatrice.

Parce que j’ai conscience que vous êtes des professionnels, j’adapterai la théorie à votre secteur d’activité et la formation fera l’objet de nombreux exercices pratiques pour être vivante et pragmatique. Dans l’idéal, nous ferons en sorte que ces derniers puissent directement servir votre communication digitale afin de tirer au mieux parti de votre temps.
A titre d’exemple, lors d’une formation en SEO (Search Engine Optimization), la rédaction d’un guide de choix a servi de cas pratique pour la mise en application des bonnes pratiques de rédaction et référencement naturel. Les participants ont ainsi pu récupérer un contenu prêt à être publié sur le site de leur entreprise.
Autre exemple dans le cadre d’une formation à la création de site web, les participants (public d’indépendants et chefs d’entreprise) ont directement pu travailler au déploiement du site Internet de leur activité.

formations reseaux sociaux lille

Vous avez un besoin en formation ?

Communication digitale, gestion de projet web, création de site Internet, référencement naturel…

5 prédictions digitales pour 2021

5 prédictions digitales pour 2021

En fin d’année, on prend le temps de dresser le bilan de la période écoulée mais surtout on regarde devant et on essaie d’anticiper le marché !
En digital, tout s’est accéléré cette année, en grande partie à cause de la pandémie. Pendant que certaines entreprises ont été forcées d’entamer leur transformation digitale pour subsister, les géants du web n’ont eu que quelques semaines pour proposer de nouveaux services ad hoc.

 

 

Encore et toujours plus de vidéo

Sur les réseaux sociaux, la vidéo gardera incontestablement le vent en poupe à condition qu’elle soit courte ! Ce format dépasse amplement les frontières de YouTube. En témoigne le succès de TikTok en 2020 dont la vidéo courte est la raison d’être. Du coup toute la sphère sociale s’y est mise : Instagram l’été dernier avec Reels ou encore YouTube avec Shorts (lancé en septembre) et même Snapchat le mois dernier avec ses Spotlight. Facebook a quant à lui annoncé en septembre que son fil ‘Watch’ dédié à la vidéo était visité par 46% de ses utilisateurs.

Et la vidéo ce sont aussi les nouveaux médias en ligne à l’image de Brut, Kombini, Melty ou encore Néo, le dernier né lancé par Bernard de la Villardière en novembre dernier. Ces médias pure-players s’adressent aux digital natives (15-35 ans) en s’appuyant très largement sur le web social. Souvent axés sur le divertissement davantage que sur la réelle information, on peut se demander si leur business model reposant sur la publicité saura résister à la stratégie des méga régies de Facebook et Google.

 

Accélération du social selling

Les grandes marques investissent massivement dans le social selling pour vendre directement sur les réseaux sociaux. L’Oréal et Séphora misent ainsi sur la solution de la start-up américaine Replika Software. D’autres comme La Redoute ou Etam surfent sur les boutiques Facebook, lancées en avril dernier.
« L’an Covid » a d’ailleurs accéléré le développement de solutions clé-en-main par les différents réseaux sociaux pour offrir un canal de vente alternatif aux commerçants.

 

Vers un recul des réseaux sociaux ?

En 2020, avec les mesures de confinement et les restrictions sociales imposées par les différents gouvernements pour lutter contre l’épidémie du Covid-19, l’évolution des réseaux sociaux s’est avérée impressionnante. Les internautes du monde entier ont utilisé réseaux sociaux et plateformes sociales pour maintenir le lien avec famille et amis, suivre l’actualité et télétravailler.

Mais avant la pandémie, le nombre d’utilisateurs des principaux réseaux sociaux commençait à se stabiliser, d’une part parce que le marché arrive à maturité et d’autre part parce que les très jeunes préfèrent TikTok et Minecraft à Facebook, Instagram ou Snapchat.

Alors une fois la perfusion coronavirus levée (gageons que cette pandémie se termine rapidement !), le retour tant attendu à la vraie vie entraînera-t-il un désaveu de ces plateformes ?

 

Facebook abat ses dernières cartes de rétention 

Facebook voit ses utilisateurs vieillir. Les jeunes le boudent : 72% des internautes français de la génération Z (15-24 ans) étaient actifs sur ce réseau social en 2019 contre 60% en 2020.

Rappelons que le groupe Facebook a initié une convergence entre ses services. Récemment, ses messageries Facebook et Instagram ont fait l’objet d’une fusion. Whatsapp devrait suivre bien que ses spécificités techniques rendent la chose plus complexe. Notez aussi que vous ne pouvez plus utiliser la fonction messagerie sans créer de profil Facebook.
Dans les prochains mois, l’ « account center » devrait permettre de centraliser les réglages et les préférences d’un même utilisateur sur les applications Facebook, Instagram et Messenger mais aussi de poster le même contenu sur les différents réseaux en un seul clic.

Mais l’actu Facebook c’est surtout deux projets d’envergure. Faut-il y voir des tentatives de rétention de ses utilisateurs ?
Dating transforme Facebook en plateforme de rencontres via la fonctionnalité originale du ‘secret crush’. Un argument de rétention pour les utilisateurs qui pensaient quitter le navire ?
Et Horizon : jeu virtuel mélangeant Second Life, Les Sims et Minecraft avec une dimension réalité virtuelle. Une ultime tentative de reconquérir les utilisateurs perdus de la génération Z ?

En marge du réseau social, le groupe porte un autre projet ; le plus prometteur est selon moi. Il s’agit de la crypto monnaie Libra rebaptisée Diem en partenariat avec des géants comme Illiad (Free), Uber ou encore Spotify. Même si le projet a perdu de son ambition et s’est éloigné de Facebook pour apaiser les esprits, il promet des transactions simples et sécurisées depuis le portefeuille électronique Novi de Facebook.

 

 

Premières actions en faveur d’un internet plus vert ?

Au sortir du ‘Sommet pour l’ambition climatique’ organisé la semaine passée par l’ONU l’objectif fixé par les accords de Paris pour réduire les émissions de gaz à effet de serre a été réaffirmé.
Or si Internet était un pays, il serait le 3ème plus gros consommateur d’électricité mondial, derrière la Chine et les Etats-Unis. Au total le web consomme chaque année 10 à 15 % de l’électricité produite dans le monde. Pire : on estime que cette consommation double tous les 4 ans !
Alors en 2021, l’Internet plus vert pourrait-il devenir un argument de vente pour les fournisseurs d’accès ou les géants de la VOD (comme Amazon Prime Vidéo, Netflix, OCS…). Peut-on imaginer que les GAFA accélèrent leurs investissements dans les énergies renouvelables ? Serons-nous, en tant qu’utilisateurs, sensibilisés à l’impact de notre usage du web sur la planète ?

 

 

Et voilà comment mon métier de consultante web évolue encore…

Google ayant encore automatisé davantage sa solution Google Ads, la valeur ajoutée d’un expert SEA devient de plus en plus faible. Je vais donc certainement jeter l’éponge sur ce levier, sans regrets car ce n’était pas la partie la plus fun de mon métier.
A l’inverse, en matière de référencement naturel, les seules compétences techniques ne suffisent plus. Elles doivent être associées à un savoir-faire éditorial pour proposer un contenu efficace et même créatif pour l’internaute (et toujours optimisé pour le SEO bien sûr). Là j’en redemande !
Côté e-commerce, je m’entends tout récemment remettre en cause le déploiement de sites Internet marchands au profit de stratégies social-selling. Je tords le cou à mes valeurs mais je dois me résoudre à prioriser l’efficacité pour mes clients. Alors c’est parti pour les tests !
Et enfin, cet univers semble devenu à la fois tellement dense, vertigineux et complexe pour mes clients qu’on me demande de plus en plus d’audits. J’y vois là un besoin de prise de recul et de recherche de stratégie accru qui me rappelle pourquoi j’aime ce métier !